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Variétés de haschisch – les différences à la loupe

Hey, as-tu déjà entendu parler des variétés de hasch ? C’est un peu le terme générique pour désigner le cannabis pressé, et tu serais surpris par la diversité qui existe. Mais ce qui les distingue vraiment, c’est leur méthode de production – et non, toutes ne se ressemblent pas après avoir été pressées et mises sur le marché.

 

Allez, viens, je te détaille les différents types de haschisch !

Finger Hash : une tradition roulée à la main

Tu sais ce qu’est le finger-hash ? C’est l’une des méthodes les plus traditionnelles, et sans aucun chichi technique. Cette pépite vient tout droit d’Inde, où il est aussi connu sous le nom de charas indien. Pour obtenir ce fameux fingerhash, on frotte les composants de la plante de cannabis directement entre les doigts ou dans les paumes.

 

Imagine un peu : une huile chargée de trichomes, ces petits prodiges qui te donnent cet effet tant recherché, s’accumule et devient hyper collante. Ensuite, tu modelles cette pâte entre tes doigts pour en faire de petits blocs précieux.

 

Même si ça a l’air simple comme bonjour, détrompe-toi : le finger-hash a des atouts incroyables et n’est pas si aisé à produire. Entre sa texture un poil humide et souple et sa teinte sombre qui trahit un frottement intensif, le finger hasch, c’est une vraie gourmandise pour connaisseurs. Et ouais, même aujourd’hui, il est vu comme un petit luxe, parfait pour ne rien gaspiller de tes restes de fleurs ou de tiges.

Ketama-Gold Hasch : l'or marocain de la marijuana

Si t’es un peu fan de pollen, le hasch Ketama va sûrement te parler. Directement venu du Maroc, où il est encore produit avec amour, sa recette a un truc en plus : le pressage à froid. Grâce à ça, les flavonoïdes, les terpènes et les cannabinoïdes comme le CBD ou le CBN restent bien au chaud dans le concentré.

 

Le Ketama, c’est souvent une variété un peu moins corsée, mais elle se décline en mille et une saveurs. Son goût et son arôme, c’est toute une histoire, un vrai concert entre terpènes, flavonoïdes, trichomes et cannabinoïdes. Pour le produire, il faut un savoir-faire technique bien rodé, mais aujourd’hui, c’est une technique qui a fait le tour du globe.

Ice-O-Lator : c'est quoi le secret de sa fabrication ?

T’as déjà vu du hasch Ice-O-Lator ? On l’appelle aussi le hasch bubble et c’est un peu le magicien de la bande, fabriqué par des tours de main glacés. Pour le coup, c’est souvent du fait maison, parce que la prod’ classique, c’est un peu old school maintenant.

 

Pour sortir ce hasch à bulles, pas besoin de grand-chose : de l’eau glacée et des sacs de tamis pour faire le job.

 

Tu prends de l’herbe, tu mixes avec de la glace, de l’eau et hop, secoue tout ça pour que les trichomes tombent comme par magie. Et tu sais quoi ? Selon la couleur du concentré, tu peux deviner la qualité – plus c’est lumineux, plus les arômes et le goût sont au top.

 

La raison pour laquelle le bubble hash est la star des coffee shops ? C’est parce qu’il est clean, pas de solvant, juste de la résine qui se fait la malle grâce à la glace.

Hasch Rosin : pourquoi c'est le concentré de cannabis incontournable ?

Le hasch Rosin, c’est le roi de la simplicité, sans solvant et tout. C’est la pression à chaud qui fait toute la diff’, séparant les trichomes des plants. Et devine quoi ? Les as du DIY se lancent dans le hasch Rosin avec rien qu’un fer à lisser et du papier parchemin.

 

Tu mets les fleurs entre le papier, un coup de chaud avec ton fer, et voilà, la résine liquide s’échappe. Après, tu grattes, tu roules, tu presses comme tu veux. Et le fun, c’est que tu peux avoir autant de variétés de bubble hash qu’il y a de plants et bourgeons.

Dry-Sift-Hash : c'est quoi cette technique spéciale ?

Le Dry-Sift-Hash, tu connais, non ? Peut-être plus sous le nom de Kief, ce concentré qui nous vient du Maroc. Pourquoi “Dry-Sift” ?

 

Tout est dans la technique : séparer les trichomes pour obtenir une poudre fine.

 

Le Kief, c’est la haute couture des extraits, super facile à produire. Mais bon, faut pas mal de bourgeons pour faire le gros lot. Du coup, les petits producteurs maison s’en tiennent aux restes, comme ce qui se ramasse au fond du grinder après avoir effrité les fleurs.

Cannabis Wax : comment ça se passe pour cette texture crémeuse ?

Et la cire de cannabis ? C’est la diva des variétés BHO. Pour la produire, on sort le grand jeu avec du gaz butane, histoire d’extraire les terpènes et les cannabinoïdes sans accroc. Attention, c’est un peu casse-cou, donc c’est pas la technique la plus répandue. La wax, c’est un peu le jumeau de la cire d’abeille, tant par le look que la texture.

 

Niveau cannabinoïdes, on est sur du très costaud, c’est pourquoi la wax est vue comme une des variétés les plus puissantes du hasch. Sur le marché, ça porte différents noms, mais le crumble et le hasch au miel, ça te dit quelque chose, non ?

Shatter-hash : pourquoi il est aussi puissant ?

Alors, le shatter-hash, ça te parle ? C’est genre le bodybuilder des variétés de hasch : super puissant, avec des effets qui te font décoller. Comme la wax, c’est une histoire de BHO, avec du gaz butane pour extraire l’huile de hasch.

 

Mais attention, le shatter, c’est plus dur, plus cassant – d’où son nom, parce qu’il shatter, il éclate, tu vois ? Si tu le check à la lumière, c’est presque transparent. C’est clairement pas pour les débutants, vu la puissance du truc.

Tradition vs. Modernité : le hasch, il évolue comment ?

Dans le temps, au Maroc, en Inde, le hasch, c’était artisanal, tout dans la tradition. Si t’étais pas branché blocs classiques, tu te contentais de l’herbe. Mais là, paf ! La tech a débarqué et avec elle, des nouveautés genre shatter ou wax. Pour les vieux de la vieille qui font du hasch depuis des lustres, des mots comme shatter et wax, c’est du chinois.

Moon-Rocks : c'est quoi cette version deluxe du hasch ?

Les Moon-Rocks, c’est le must pour les experts du hasch.

 

Imagine : un bud classique, plongé dans du hasch BHO liquide, et puis roulé dans le kief. Résultat ? Une pépite avec un effet de ouf. Comme c’est un mix de plusieurs hasch, accroche-toi pour le high, surtout avec le THC.

 

Mais t’as aussi les Moon-Rocks version chill, avec du chanvre industriel, sans THC ou juste 0,2 %. C’est légal, c’est tendance et le CBD, on dit que ça fait des miracles pour le bien-être.

Légalité des haschs : tous les types sont-ils ok ?

Quand on pense hasch, on imagine direct les effets du THC. Mais le monde du hasch, il a changé. 

 

Voici la vraie question :

  • Les haschs avec THC : c’est le hasch classique, celui qui fait planer. Sauf que maintenant, si le taux de THC dépasse les 0,2 % dans l’UE, c’est no way.
  • Les haschs de chanvre industriel : pas de high, pas de problème. Ces plants viennent de graines de chanvre utilitaire, et le hasch qui en sort est cool et légal.

La règle, c’est pas le type de hasch, mais ce qu’il contient. Dans l’UE, tant que tu restes sous les 0,2 % de THC, t’es dans les clous.

Hasch CBD : le choix, c'est la vie, non ?

Le hasch, c’est pas que le THC qui rend stone. En Europe, ils ont serré la vis sur le cannabis à cause de ça. Mais le CBD, c’est une autre vibe, et c’est souvent légal. La diversité des haschs CBD, c’est un big deal parce que chaque technique, chaque taux de CBD, chaque variété, ça change tout.

 

Le hasch CBD, c’est plutôt pour la détente et pour gérer les tracas. Mais les recettes du THC, elles inspirent toujours pour les nouveaux haschs CBD.