Tu sais, le TDAH (Trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité), c’est un peu comme un invité surprise qui ne veut pas partir. En France, c’est entre 2 et 6 % des enfants qui gèrent ça au quotidien, et les symptômes, ils varient du tout au tout. Et pour les adultes ? Bah, c’est souvent le même cirque, mais en sourdine, sans qu’ils s’en rendent compte. On parle de 3 % d’adultes qui jonglent avec sans même le savoir, et le nombre grimpe.
Le move classique, c’est de se tourner vers des médocs comme le Medikinet pour mettre le hola à la distraction. Mais là, tadaa, le cannabis médical commence à faire de l’œil aux chercheurs, surtout pour ceux qui carburent au rythme TDAH.
On en est qu’à une étude pilote, mais elle a déjà fait tilt dans la tête des chercheurs. On va te donner le 4-1-1 sur le cannabis en mode TDAH et checker les plans B possibles.
Le TDAH, c'est quoi le topo ?
Le TDAH, c’est un invité qui aime bien mettre l’ambiance, surtout chez les enfants. Pour qu’on pose le diagnostic, il faut que la fête ait commencé avant ses 7 ans et que ça dure depuis plus de six mois. On n’a pas encore percé le mystère de son arrivée, mais on mise sur une histoire de famille, genre génétique.
Et dans le cerveau, surtout dans les lobes frontaux, c’est un peu la sieste : c’est là que ça coince pour trier et passer l’info dans le reste du cerveau.
Les symptômes TDAH : ça se passe comment ?
Pour ceux qui vivent avec le TDAH, c’est un festival de trucs qui partent dans tous les sens :
- Impulsivité
- Manque de focus
- Réactions sans filtre dans les moments chill comme les moments un peu plus tendu
- Émotions en montagnes russes, genre colère flash
- Hyperactivité (mitraillette à mots, toujours en mouvement, esprit qui fait des 100 mètres)
- Oublis à la pelle
- Distraction level expert
- Agressivité on/off
- Nuits blanches et j’en passe
Le gars ou la fille TDAH, c’est ce pote qui ne peut pas rester tranquille deux minutes. Et souvent, c’est pas facile pour l’entourage, surtout dans les familles où ça peut chauffer sec entre frangins et frangines.
Cannabis et TDAH : Ça matche ou pas ?
Pour le moment, le cannabis médical dans la danse TDAH, c’est un peu le nouveau venu qu’on check du coin de l’œil. En 2017, une étude pilote avec 30 volontaires a été lancée. La moitié a testé le mix CBD/THC, l’autre moitié a joué les cobayes avec un placebo.
Les résultats ? Une certaine chill-attitude dans l’impulsivité et un peu plus de calme dans la tête.
Mais pour parler d’amélioration tip-top, on n’y est pas encore. Si on le compare au méthylphénidate, le cannabis médical, il fait jeu égal, ou presque. Donc oui, il nous faut plus que ce petit teaser pour vraiment juger.
Pour l’instant, l’idée générale, c’est que le cannabis médical, avec ses effets secondaires, c’est pas encore le graal pour gérer le TDAH. Mais qui sait ? Avec le temps et la science, peut-être qu’on pourra lui trouver une place de choix dans notre trousse à outils pour le TDAH.
Vers qui se tourner pour une prescription de cannabis en cas de TDAH ?
Tu te demandes si le cannabis médical et le TDAH, ça peut faire bon ménage ? En France, c’est encore un peu la zone grise. Ok, depuis 2017, ton doc peut te prescrire du cannabis médical, mais pour le TDAH, c’est pas encore dans les clous.
L’association ADHS Deutschland e.V., enfin, devrais-je dire l’équivalent allemand, a pesé le pour et le contre entre les effets secondaires et les potentiels bienfaits du cannabis pour le TDAH. Ils disent qu’avec tous les médocs existants, comme le méthylphénidate, normalement, les adultes devraient trouver leur compte.
Mais accroche-toi, parce que jusqu’en 2022, il y avait quand même environ 163 prescriptions de cannabis pour le TDAH. Les effets secondaires font qu’on n’est pas encore prêts à filer un feu vert général. Pour savoir si le cannabis pourrait être ton allié, c’est ton médecin qui doit faire le call. Si les pilules habituelles font flop, certains se mettent à chercher une autre voie.
Cannabis médical vs Méthylphénidate : le match est-il équilibré ?
Alors, cannabis médical et méthylphénidate, c’est le duo à éviter ? Une étude a checké ce mix sur des gens bien portants et bingo, ç’a boosté leur rythme cardiaque.
Traduction : ça pourrait amplifier les symptômes du TDAH, ou d’autres troubles psychiques.
Le message est clair : pas de mélange entre cannabis et médicaments pour le TDAH sans l’aval d’un toubib. Ce n’est pas le combo à tester en freestyle, même si l’idée te traverse l’esprit.
CBD et TDAH : Quels sont les insights actuels sur cette thérapie alternative ?
Quand on parle de cannabis médical et de TDAH, et que les effets secondaires deviennent un peu trop pour toi, le CBD se profile comme un pote potentiel. Les études, elles ont déjà montré que les cannabinoïdes et notre système endocannabinoïde, c’est une belle histoire d’amour, surtout quand il s’agit de psyché. C’est vrai, on n’a pas encore de conclusion en béton, mais le CBD, il se fait un nom dans le monde de la psychiatrie moderne.
Le CBD, après le THC, c’est un peu le chouchou des chercheurs. C’est légal pour les grands, en vente libre, mais attention, il doit rester dans les clous : pas plus de 0,2 % de THC et une origine claire, issue de graines de chanvre autorisées par l’UE. Même si le CBD et le TDAH n’ont pas encore été associés dans une étude dédiée, on se demande si ce cannabinoïde ne serait pas un plus pour les adultes.
Les usages actuels du CBD chez les personnes donnent déjà des pistes :
Le CBD et l'anxiété : un effet calmant sans endormir ?
Les recherches sur le CBD et l’anxiété, ça ne manque pas. Ce qu’on en retient, c’est que le CBD, ç’a un effet relaxant sans t’envoyer dans les bras de Morphée. En théorie, si tu es du genre hyperactif, une petite routine de CBD pourrait aider à appuyer sur le bouton “chill”. Pour l’instant, on n’a pas de preuves scientifiques, mais les retours des utilisateurs, eux, sont plutôt positifs, avec une amélioration de leur état grâce au CBD.
Le CBD et les troubles du sommeil : un coup de pouce pour la nuit ?
L’hyperactivité, ça peut jouer les trouble-fête la nuit. Le cannabis, on sait que ça peut aider à trouver le sommeil. Pour le CBD, une étude a suggéré qu’il pourrait avoir le même effet bénéfique. Les personnes avec des douleurs chroniques, elles témoignent d’un meilleur dodo avec le CBD.
Fleurs de cannabis médical vs CBD : On parle de la même chose ?
Le cannabis de la rue et le CBD, c’est pas les mêmes potes. Si tu plonges dans la thérapie aux cannabinoïdes, la substance que tu choisis, ça change tout. Le cannabis, il est plein de THC, le genre qui te fait planer et qui n’est dispo en France que sur ordonnance. Il te fait voir la vie en couleur, mais pour le TDAH, ça peut aussi tourner au vinaigre.
Visuellement, tu ne verras pas la diff’ entre les fleurs de CBD et de THC, mais les effets, eux, ne sont pas jumeaux. Le CBD, avec son max de 0,2 % de THC, il ne te fera pas planer. En France, tu ne le trouveras pas pour te faire un thé mais plutôt pour concocter une aromathérapie ou pour d’autres usages spécifiques. Le cannabis médical, lui, il mixe CBD et THC et peut donner un high à l’utilisateur, ce qui n’est pas toujours le top pour le TDAH.
C’est pour ça que les pros de la santé, ils regardent encore le cannabis médical avec un œil sceptique pour les troubles psychiques. Par exemple, le cannabis, il peut amplifier ou même déclencher l’anxiété, alors que le CBD, il n’a pas cette réputation.
Expériences personnelles : Que pensent les utilisateurs de cannabis pour le TDAH ?
Pour l’instant, on doit jouer les patients avant que les chercheurs nous livrent des infos béton sur le cannabis et le TDAH.
Est-ce que ça va devenir une option cool à côté des médocs habituels ? Mystère et boule de gomme. Mais si tu fouilles sur le net, tu tombes sur des témoignages de gens qui se sont lancés dans l’auto-traitement avec des cannabinoïdes, THC inclus. Ils disent souvent que ça leur met un peu de pommade sur l’impulsivité et les bugs de concentration.
Mais attention, hein ! Se lancer dans l’auto-traitement du TDAH, surtout sans diagnostic, c’est pas vraiment la meilleure idée du siècle. En plus, le cannabis et les cannabinoïdes, ça peut jouer des tours avec d’autres médocs. Donc, si t’as envie de tester, parles-en d’abord à ton toubib pour ajuster le tir sur la quantité et tout le toutim.
Conclusion : Le cannabis et le TDAH, on en est où ?
Pour être franc, on nage encore en plein brouillard quant à l’efficacité du cannabis pour traiter le TDAH. L’étude pilote qu’on a sous le coude, ce n’est pas suffisant pour voir clair sur le long terme. En France, on est encore aux balbutiements des études sur les cannabinoïdes pour les troubles psychiques.
Mais qui sait, avec la légalisation qui se profile, le cannabis pourrait bien devenir un acteur clé dans la gestion du TDAH à l’avenir. Et y’a fort à parier qu’on aura droit à des nouveaux insights sur l’usage du CBD aussi.
